Canton de Port Louis

Notre commune a toujours fait partie du canton de Port Louis et voilà que tout change... Les maires des communes avoisinantes sont mécontents et le font savoir. M. LEROUX , ses adjoints y compris Mme Le Magueresse et les conseillers n'ont rien à faire de notre secteur et des "Minahouets". Ces élus ont approuvé le bon désossage qui leur a été imposé à des fins électorales. Un bémol, Gâvres....
On se moque de la population... 
Les amis du canton ainsi que les "Minahouëts" râlent, espérons qu'ils soient entendus.

Le Président et les membres de l'association présentent aux Locmiquélicains leurs Meilleurs Vœux. 

Bonne Année 2014 à tous.

Lors de l'assemblée générale du 6 décembre dernier, l'association Escapade a élu son nouveau président, M. Yvonnick BOURDIEC qui succède donc à Mme Marylène PRIGENT, candidate aux municipales 2014.
M. Yvonnick BOURDIEC est membre de l'association depuis sa création et entend continuer l'action d'ESCAPADE. De nouveaux enjeux se profilent et dans l'immédiat le nouveau P.L.U.
Il souligne à ce propos que les commissaires enquêteurs, dans leurs conclusions, pointent du doigt la liste des maisons dites "remarquables ", répertoriées dans le P.L.U.

L'association ESCAPADE avait alors attiré l'attention des 139 propriétaires qui n'avaient été, à aucun moment, informés de cette situation par les services de la mairie.

Parcours

Le 12 octobre 2013, je vous annonçais, par voie de presse,  ma candidature pour les élections municipales 2014.  Je vais par ces quelques lignes me présenter.

Je suis née à Brest, il y a 46 ans. Je suis la cadette d’une famille de 3 enfants ; toute ma famille vit à Brest.

Mon père très impliqué dans la vie de sa commune a été un élu pendant plus de 30 ans.

J’ai fait des études de Mathématiques à l’Université de Brest. J’ai débuté ma carrière professionnelle à Paris où je travaillais comme gestionnaire dans une société d’informatique qui équipait les lycées, les universités et les administrations.

Après, pendant 13 ans, j’ai occupé le poste de  déléguée médicale pour des laboratoires pharmaceutiques sur les 4 départements bretons. J’ai rencontré des gens de tous milieux : les médecins, et dans les salles d’attente, leurs patients. J’ai vu ainsi l’évolution des villes bretonnes sur les plans économique, social et environnemental.

Ensuite, j’ai changé d’orientation. J’ai créé seule ma société de diagnostics immobiliers en 2003. C’était un nouveau métier. Mon intérêt pour l’environnement et les énergies nouvelles,  mon sens relationnel se sont avérés être de bons atouts.

Depuis 8 ans je me suis impliquée dans la vie de Locmiquélic, tant sur les plans professionnel  que personnel.

Ma société est domiciliée à Locmiquélic et je participe à la vie de l’association des commerçants et artisans de Locmiquélic.

Grâce à mon activité professionnelle,   je vais à la rencontre des gens de tous milieux sociaux. Je connais leur cadre de vie et leurs besoins aussi bien en logements, structures d’accueil, loisirs ou culture…

Enfin, j’ai créé  ESCAPADE en 2009. Cette association est  un cadre d’échanges, d’idées et de réflexion.

Sur le plan personnel, j’aime faire de la voile et les activités nautiques en général. Locmiquélic répondait de ce point de vue à mes attentes. J’ai rencontré des gens sympathiques, chaleureux,  et  Franck, mon époux.

Nous nous sommes installés dans un premier temps à Ste Hélène. Nos deux enfants y sont nés.

Locmiquélic étant la ville natale de Franck, dès que nous en avons eu l’opportunité, nous avons acheté cette maison, rue des Lavoirs que nous habitons depuis 8 ans.

Notre famille est de Locmiquélic depuis plusieurs générations. Franck est « un gars de chez nous ». Il est né pour ainsi dire au port de pêche, ses parents étaient mareyeurs à Keroman. Il travaille au port de pêche depuis plus de 20 ans.

Franck est le petit fils de « Paul Pons » et de Marie Golvan.

Nous avons élevé nos enfants, Mathieu et Louise à Locmiquélic. Après l’école maternelle et primaire à Locmiquélic, ils sont aujourd’hui scolarisés au Port Louis.

Je suis convaincue, compte tenu de mes expériences professionnelles et personnelles dans ces différents milieux que je suis en mesure de proposer  des idées nouvelles pour améliorer ce cadre de vie.

Dynamiser Locmiquélic, qui présente des atouts formidables de part sa façade maritime et sa proximité avec Lorient, est un beau défi. Pour cela nous devons développer le tourisme mais surtout l’activité économique. Il  faut s’en donner les moyens et ne pas laisser cette tâche à  Lorient Agglomération.

Je souhaite développer une véritable collaboration avec les communes de Riantec et de Port Louis afin de mutualiser nos moyens et offrir à la population  et notamment à la jeunesse, plus de services, plus de structures.

En toute transparence, je souhaite rétablir la Démocratie et laisser une place importante à la Concertation. Pour avancer il faut que la population adhère totalement aux projets.

Je vous invite à venir en discuter librement et à me rejoindre, pour ensemble,  faire de Locmiquélic, une ville plus moderne, plus rayonnante, plus accueillante, où on a envie de vivre…

Ensemble tout est possible…

Droit de réponse: OUEST FRANCE du 23 ET 24 octobre 2013

Présidente de l'association ESCAPADE je souhaiterais apporter des précisions suite aux articles parus dans vos éditions des 23 et 24 octobre dernier.

Par courrier en date du 18 octobre 2013, nous avons été avisés du rejet de notre recours. Les attendus du tribunal administratif de Rennes nous encouragent à faire appel.

Je constate que l'ordre du jour du conseil municipal ainsi que les travaux de sondage effectués sur le stade Abbé Tréhin ont été programmés avant même de connaître  la décision du Tribunal en date du 18 octobre et non 20 septembre comme indiqué dans votre article du 23 octobre.

Par ailleurs, je tiens à préciser que notre recours, fait fin 2011, soit depuis deux ans et non douze, porte sur la sauvegarde du stade lui même et des installations sportives attenantes soit 7000 m² environ et non sur les 14 849 m² . 

Personne ne s'oppose à un projet immobilier sur les terrains communaux restants.

Il est choquant de vendre des installations sportives, en parfait état de fonctionnement au prix de 25 euros le m² et dont les frais de réhabilitation sont toujours en cours d'amortissement. Les associations locales manquent de structures et de capacité d'accueil.

Préserver et entretenir l'existant sont une évidence à mon sens.

Par ailleurs en ce qui concerne les rentrées fiscales qui font défaut soi disant par notre action, rien ni personne ne s'oppose à des projets immobiliers sur d'autres terrains communaux comme à Talhouët par exemple...

Compte tenu des rentrées fiscales en baisse, le choix du gazon synthétique était-il alors judicieux ?

                                               *********************************************

Je lis ce matin dans le Télégramme (29/10/2013) que "suite aux fortes intempéries des derniers jours, le maire décide de fermer l'accès à la cuisine de la salle des fêtes en raison d'un risque éventuel de court-circuit électrique."

Là encore, je dénonce ces pratiques régulières de désinformation puisque le maire a décidé de fermer la cuisine avant les intempéries de ces derniers jours. Il l'a déjà annoncé aux associations lors de la réunion annuelle la semaine dernière AVANT LA TEMPÊTE.

Je constate une fois de plus que c'est un manque d'entretien qui est l'origine de cette fermeture et que c'est encore un manque à gagner certain pour la commune.

Plus de stade Abbé Tréhin, plus de camping, plus de cuisine à la salle des fêtes...tout fout le camp quoi ! 

Comment M. l'adjoint aux finances peut-il se vanter d'une bonne gestion !

Stade Abbé Tréhin : Que se passe-t-il ?

Depuis jeudi, nous constatons que des sondages sont effectués sur le stade Abbé Tréhin. Renseignements pris, il s’agit d’analyses de sol habituellement réalisées avant le dépôt d’un permis de construire…C’est aussi l’acquéreur qui supporte en général ces frais. Qui va payer ? Que le maire s’explique !

Aujourd’hui dans le journal Ouest France, nous apprenons que la mairie va vendre le stade Abbé Tréhin aux promoteurs immobiliers Aiguillon et Pierreval.

Par cet effet d’annonce, le maire veut montrer qu’il a raison et tente d’intimider une fois de plus les éventuels contestataires…

Rappelons les faits : fin 2011, l’association ESCAPADE a contesté devant le tribunal administratif, le déclassement du stade Abbé Tréhin du domaine public.

Nous venons d’apprendre que ce recours a été rejeté en partie sur le fait que nous n’avons pas su convaincre le tribunal que le parking de la rue Léon Blum faisait bien partie de la voie publique.

Le tribunal ne nous a pas condamnés à payer les 3000 € que la mairie réclamait et nous avons les arguments pour faire appel. Il faut obligatoirement prendre le conseil d’un avocat ce qui nous mettra sur le même pied d’égalité que la mairie et nos arguments seront présentés avec professionnalisme. Pour cela, nous avons 2 mois supplémentaires.

Les élections sont proches : le maire peut toujours signer un compromis de vente pour le stade Abbé Tréhin, les promoteurs ne manqueront pas d’y ajouter pléthore de conditions suspensives.

Donc finalement rien de nouveau, le maire actuel terminera son dernier mandat en mars prochain avec le même bilan qu’en 2008, c'est-à-dire un déficit en logements, une activité économique en berne, des dépenses de fonctionnement continuellement en hausse, quelques gadgets comme le terrain synthétique et c’est tout…

En attendant, nous les Albanais de Cap Lorient, on voit tous les jours la commune se dégrader, les rues sont sales, la sécurité n’est pas assurée, aucun investissement durable, pas d’animation...

Même avec une adjointe, Vice-présidente de Cap Lorient aux transports, nous n’avons pas eu le droit d’inaugurer le bateau électrique dans notre port… C’est vrai qu’il y a beaucoup de Lorientais qui viennent travailler à Locmiquélic tous les matins…

Le Maire actuel a donné les clés de la maison à Cap Lorient, son adjointe, candidate à sa succession, donnera les doubles et même davantage, de cela vous pouvez en être certains !

Municipales 2014

À nos fidèles lecteurs, 

Nous vous donnons la primeur de notre engagement en attendant les communiqués qui paraîtront prochainement dans la presse locale.

Marylène PRIGENT, Présidente de l'association ESCAPADE, j'ai décidé de mener une liste pour les prochaines élections municipales de mars 2014.

Je suis convaincue que c'est le moment de donner une nouvelle orientation à LOCMIQUÉLIC, d'une part en développant son attractivité sur les plans économique et touristique et d'autre part, en présentant des projets innovants et structurants pour la commune.
Je m'oppose aux modes de gestion de la commune pratiqués par le Maire actuel et la candidate désignée à sa succession ; gestion qui a plongé LOCMIQUÉLIC dans un immobilisme total.

J'appelle toutes les personnes qui ont envie de voir LOCMIQUÉLIC revivre et évoluer, à me rejoindre et à travailler ensemble pour redonner à notre commune tout son dynamisme.... 

Toute l'actualité de l'association Escapade sur notre site :

info-escapade.blogspot.fr

email: escapade.locmiquelic@orange.fr

Camping ou Parking ?

Nous apprenons ce matin dans la presse (le Télégramme du 14/09/2013) que le référé des riverains du camping de Pen Mané a été rejeté.

Le maire se vante d’avoir eu raison encore une fois devant le tribunal et accuse ces personnes de donner du travail supplémentaire aux agents municipaux et se plaint du coût des procédures.

M. Le Maire semble oublier que nous sommes encore en France et que c’est encore un pays démocratique où les débats sont  normaux et nécessaires.

Il n’y aurait sans doute pas eu besoin de faire un référé si les riverains avaient été informés des projets de la mairie avant…

Après avoir invoqué le déficit du camping, les risques d’inondations, voilà la dernière trouvaille du maire :

la sécurité routière et l’intérêt général.

Sur l’intérêt général :

Si tel était le cas, le maire peut-il nous expliquer ce que la Sagemor vient faire dans cette affaire ? La Sagemor représente bien un intérêt particulier.

Quel est le problème ?

Des particuliers utilisent la cale de Pen Mané gratuitement pour mettre leur bateau à l’eau et laissent leur véhicule et leur remorque sur le bord de la route…

Ces personnes n’ont donc aucun rapport avec la Sagemor qui exploite un port de plaisance. Ces personnes ne sont donc pas des clients de la Sagemor.

Pourquoi avoir donné la gestion du camping devenu parking à la Sagemor ? Quel rapport entre ces 2 protagonistes sinon aucun ?

Pourquoi tout le monde ne pourrait pas se garer au camping notamment ceux qui veulent simplement se promener par exemple ? Pourquoi les gens qui veulent utiliser le parking devraient-ils se faire connaître auprès de la Sagemor ?

Où est l’intérêt général là dedans ?

Sur la sécurité routière :

Pour garantir la sécurité routière, le maire voudrait que les propriétaires de bateaux garent leur voiture et leur remorque sur le camping de Pen Mané devenu parking à carte.

Il s’est avéré que ces personnes ne font pas l’effort d’aller à Ste Catherine chercher la carte, ce qui se comprend aisément. Il parait un peu compliqué en effet, pour des personnes étrangères à Locmiquélic d’aller de la cale de Pen Mané jusqu’à Ste Catherine avec tout leur chargement (véhicule + remorque + bateau) et de revenir ensuite.

Donc les gens continuent de se garer partout autour du camping et la sécurité routière n’est toujours pas assurée.

Le maire aurait effectivement pu parler de sécurité routière et d’intérêt général s’il avait mis à la disposition de tous, ce camping, sans restriction ni contrainte.

Le maire semble avoir découvert un nouveau mot « intérêt général », il nous le ressort à toutes les sauces.

Pour l’Abbé Tréhin aussi c’est « l’intérêt général » ! Soit disant le tribunal lui a donné raison.  « Les logements du Ty Douar, c’est que le hors d’œuvre, l’Abbé Tréhin c’est le plat principal » …

En attendant, on a mangé ni le hors d’œuvre ni le plat principal. L’affaire de l’Abbé Tréhin est loin d’être terminée…L’affaire du camping ne fait que commencer…

Les menaces du maire ne prennent pas…Les gens ne sont pas dupes !

Ses recettes ne marchent pas. On est toujours au même point, les gens sont mécontents et les projets sont au point mort.

L'Etat donne la possibilité aux citoyens de s'exprimer par le biais des recours et référés .Critiquer cette démarche comme le fait d'une façon récurrente le Maire est un argument qui remet en cause le principe même de la démocratie.

La concertation, le dialogue, la transparence sont une méthode de gestion qui installe un climat de confiance entre les élus et les citoyens. Le Maire a choisi une autre méthode qui lui a valu une série de recours administratifs et la création d'associations regroupant les mécontents (antenne, camping, stade Abbé Tréhin, Îlot vert).

En choisissant le manque de concertation, Le Maire et sa municipalité ont-ils vraiment pensé à l'intérêt général ?

La mal aimée

Vous avez pu voir dans le Ouest France du 6 août 2013, une photo du bateau électrique publiée par Lorient Agglomération. 

Cet article vous invite à une mini croisière de 30 minutes sur la rade, les 9 - 10 et 11 août prochains, gratuitement et sur inscription. Sur la photo, on aperçoit la citadelle de Port Louis, Kernével et on devine l'Ile de Groix. 

Locmiquélic dans tout cela ? 

Lorient Agglo aurait eu une bonne idée, pour une fois, de mettre Locmiquélic sur la sellette et proposer un passage gratuit depuis Lorient pour venir à la Fête des Langoustines par exemple.  

Pourtant Locmiquélic, la mal aimée, fait tout ce que l'Agglo demande. Cette semaine  Pen Mané a participé grandement au succès du Festival Interceltique en prêtant ses routes, ses parkings.... 

Pendant le Festival Interceltique pas la couleur d'un kilt du côté de la rive gauche... Tout se passe à Lorient, Ploëmeur, Lanester etc..... 

Les Vedettes Jaunes ont traversé la rade pendant des décennies et offraient d'ailleurs des services beaucoup plus larges que les batobus actuels. Lorient Agglo se moque de Locmiquélic !  

Quant à notre vice présidente chargée des transports maritimes, de surcroît, adjointe au maire de la commune, la promotion de Locmiquélic est le cadet de ses soucis ! N'oublions pas qu'elle nous invitait à prendre le bateau pour aller faire nos courses à Lorient...

Belle occasion manquée de mettre Locmiquélic à l'honneur ! 

Il est temps que tout cela change...

IL ETAIT UN PETIT NAVIRE : AR VAG TREDAN

A partir des articles de la presse locale et des comptes-rendus des réunions communautaires organisées de Cap l’Orient, nous avons voulu retracer, le plus fidèlement possible, la chronologie de la carrière de la jeune vedette électrique qui doit assurer le transport  des passagers entre Pen Mané et Lorient. L’aspect technique n’a pas été a été souligné, volontairement.

Télégramme du 30 octobre 2008

Plusieurs élus ont profité d’un voyage d’études en Suisse pour s’intéresser à un navire à propulsion électrique et Mme Le Magueresse, Vice-Présidente de Cap L’Orient, chargée des transports collectifs maritimes urbains de préciser : « ce navire doit avoir une propulsion propre, électrique ou hybride.

Est-ce tenable sur la rade ? On s’interroge. Mais on sait déjà qu’un bateau  classique coûte environ 2 millions d’euros alors que le type de navire que nous  avons vu qui navigue à la vitesse de 8 nœuds, ne coûte que 800.000 euros ».

A Riantec le 22 décembre 2008

Réunion communautaire de Cap l’Orient qui adopte une délibération (66 voix pour et 10 abstentions) approuvant le lancement d’une étude pour la construction d’un nouveau navire, à passagers.

Mme Nathalie Le Magueresse, absente excusée, a donné pouvoir à M. André Le Roux.

La durée globale d’étude et de travaux préalables à la livraison est estimée à 2 ans.

A Port Louis, le 11 décembre 2009, un an plus tard, le Conseil communautaire, à l’unanimité, adopte la délibération approuvant la construction d’un navire à passagers. Le coût global de l’opération peut être évalué à 2 millions d’euros hors taxes.

Mme Le Magueresse arrive au Conseil Communauaire au cours de la 5^ème question. Départ de Mme Le Magueresse au cours de l’examen de la 15^ème question. Elle donne pouvoir à M. André Le Roux.

Pas tout à fait, un an plus tard, le 24 septembre 2010 à Cléguer, le Conseil communautaire, en l’absence de Mme Le Magueresse, excusée, ayant donné pouvoir à M. Le Roux, adopte à l’unanimité la délibération qui approuve :

-               le projet d’un nouveau navire et de l’équipement de 4 pontons de systèmes spécifiques d’alimentation en énergie.

-               Le coût d’objectif de 3 millions d’euros HT

Pour les aménagements à terre :

Lorient, Quai des Indes : réaménagement du ponton et équipement de   fourniture énergétique

Locmiquélic-Pen Mané et Port-Louis-La Pointe : équipement de fourniture énergétique

Lorient-Port de Pêche : équipement de fourniture énergétique et aménagement de la liaison intermodale bus-bateau.

        

Ouest-France du 17 octobre 2011

  « Le bateau électrique sera propre et recyclable »

M. Métairie, Président de Cap L’Orient, à l’occasion de la découpe de la première tôle résume « « il nous paraissait capital de montrer l’exemple dans ce domaine. Et quand il a fallu songer à remplacer le « Sainte Catherine », nous nous sommes dit que le futur navire devait être une vitrine tant pour les entreprises que pour notre rade ».

L’agglo investit 3,4 millions d’euros dans ce  prototype.

Ouest-France du 18 septembre 2012

« Le transrade électrique mis à flot à Lanester ».

Commandé par Lorient Agglomération au chantier STX, le transrade Ar Vag Tredan (le bateau électrique) doit après une période de tests, entrer en service à la fin du mois d’octobre 2012.

Télégramme du 9 novembre 2012

«Transrade ; Le bateau électrique…. En rade »

Un « léger » retard à l’allumage ! Le nouveau bateau électrique commandé par Lorient Agglomération pour assurer le trafic transrade est en cale sèche. Une pièce défectueuse retarde sa mise en service, promise fin octobre.

Télégramme du  21 mars 2013

« Le transrade se fait désirer »

« Pas de mise en service avant l’été »

Depuis l’échec des essais en mer à l’automne 2012, le bateau électrique commandé par Lorient Agglomération est toujours en hivernage forcé au chantier naval STX.

Sa mise à l’eau est promise pour l’été prochain. En théorie.

Ouest-France du 27 juin 2013

« Le bateau électrique pour la rade de Lorient naviguera cet été ».

Depuis quelques jours, les essais en mer ont redémarré.

Des traversées ponctuelles en  août.

Cet été il pourra assurer des traversées expérimentales entre Lorient et Locmiquélic.

Les usagers seront invités à monter à bord la deuxième quinzaine d’août et à le tester avant une mise en service officielle en septembre 2013.

Sur le plan financier :

La fourniture d’un navire à passagers à zéro émission ou émission minimale pour le réseau de transport collectif a fait l’objet d’un marché en date du 27 juin 2011 avec STX France pour un montant de 3.231.500 euros Hors Taxes.

L’alimentation complémentaire des équipements de raccordement électrique du navire à passagers –commune de Locmiquélic- a fait l’objet d’un marché en date du 3 octobre 2012 avec Spie Ouest Centre pour un montant de 23.560,50 euros Hors Taxes.

La fourniture d’un poste électrique Haute tension –Basse tension et d’une liaison souterraine d’alimentation du bateau à faible émission de CO2 à Locmiquélic a fait l’objet d’un marché en date du 13 mars 2012 pour un montant de 154.964,50 euros hors taxes.

décembre 2012

 Cap L’Orient précisait : « par rapport aux autres solutions proposées lors de la consultation, l’investissement en faveur du tout électrique constitue un effort financier (coût 3.456.500 euros hors taxes)

A titre de comparaison, il faut compter :

 1.500.000 euros pour un navire diesel,

2.300 000 euros  pour un hybride diesel-électrique.

Ce surcoût initial sera progressivement compensé par les économies d’exploitation évaluées à 1 million d’euros sur 30 ans. »

Trente ans c’est l’avenir et …. l’avenir nous le dira !

800.000 euros ?….. on peut rêver.

Le camping prend l’eau

A l’issue des élections, lors d’un conseil municipal  le maire est installé ou reconfirmé dans ses fonctions. des pouvoirs et des délégations de signatures lui sont conférés. 
Le 27 mars 2008 c’est exactement ce qui s’est passé, mais pas spécialement pour le camping comme on voudrait le laisser croire. On donne au Maire le pouvoir d’agir en lieu et place des habitants qui lui ont accordé leur confiance. Cela ne veut pas dire qu’il peut faire n’importe quoi…

Le pouvoir d’information et de concertation reste un choix de gouvernance et visiblement  Le Maire n’est pas  sensible  à cette méthode.

Le 9 avril 2013, lors d’un conseil municipal, il a été décidé que le camping ne serait pas ouvert cet été et que la municipalité réfléchissait  quant à l’avenir de ce camping. Les raisons  avancées étaient le déficit 22.417,83  euros pour l’exercice 2012, les risques d’inondation et le coût de réhabilitation du camping que la commune ne veut pas assumer.

Toute cette gesticulation municipale, en l’absence du Maire,  autour du problème du camping qui va être « cédé » à la SAGEMOR  prête à rire. Dès le 9 avril, la  décision était prise de faire un partenariat avec la SAGEMOR.

Il ne faut pas oublier que la restauration du site de Ste Catherine a supprimé au moins 50 places de parking.

Et si ceci compensait cela ? 

Toutes les occasions sont bonnes pour se faire connaître et notre deuxième adjointe, flanquée de ses colistiers, a tout compris. Bien évidemment au nom de la Municipalité, elle est venue rassurer les riverains sur le projet avec des arguments qui ne correspondent pas exactement à la réalité. Connaît-elle réellement ce dossier ?

Ce mini-conseil en plein air est suivi d’effet puisqu’une pétition circule dès le lendemain  au sujet du camping. Visiblement elle n’a pas rassuré.

Dans le Ouest France du jour notre adjoint chargé des finances  veut quitter le bateau aux prochaines échéances, la tête haute et revendique déjà une gestion saine. Certes, mais  faire des crédits pour les bonnes causes n’est pas malsain. De gros moyens ont été engagés pour les travaux de réhabilitation de Ste Catherine et du Stade Emmanuel le Visage. Le déficit du camping est une misère à côté de ces dépenses qui  donnent une belle vitrine à Locmiquélic.

Conclusion :

Le Maire ne peut pas ignorer le mécontentement des riverains.

Il est vrai qu’il est paradoxal de lire que le camping est déficitaire et que l’on prête gratuitement le terrain à la SAGEMOR. Mais pour une fois la commune est prudente   car elle a appris depuis l’affaire du stade de l’Abbé Tréhin que les terrains communaux publics en dépit des signatures que possède le Maire, ne se gèrent pas sans procédure administrative.

Pourquoi ne pas  louer  le camping à un privé aux fins d’exploitation après l’avoir réhabilité avec l’aide d’un  petit crédit ?

Il faut   trouver une solution pour compenser les places de parking perdues  à Ste Catherine afin de faciliter le bon fonctionnement du Port de plaisance.

La station d’épuration qui ne sert plus à rien, quand sera-t-elle détruite et mise à la disposition du port pour recevoir les bateaux ?

De la concertation jaillit la lumière. La municipalité n’a pas raison de se priver des concertations. Elle décide de tout  et les problèmes surgissent les uns après les autres qu’il s’agisse de l’implantation de l’antenne, de la vente du stade Abbé Tréhin, du camping…..

La commune vend tout ce qui donnait une valeur ajoutée à une commune : un terrain de sport en plein centre, une partie des bâtiments d’une école communale,  des terrains communaux en bord de mer, et à présent le camping. Tout ce qui demanderait de l’investissement est systématiquement rayé de la carte.

Que reste-t-il à vendre ?

PLU: annexe 6

p 28/29 du règlement écrit du PLU approuvé lors du dernier conseil municipal on apprend que le patrimoine bâti d'intérêt architectural a été rencensé dans l'annexe 6.

 voici cette liste :

Quelques explications s'imposent !
Comment cette liste a-t-elle été établie ?
Sur quels critères ces maisons ont-elles été inclues dans cette liste ?
Qui a établi cette liste ?

LE TEMPS PERDU NE SE RATTRAPE JAMAIS….

On pourrait ajouter le « temps c’est de l’argent ».

Jeudi 18 avril à 18 heures 30, Salle Artimon, le Maire de notre commune ouvrait la séance par cette maxime que tout le monde connaît.

Oui que de temps perdu… d’argent du contribuable dépensé faute d’écoute, de dialogue, de considération et de respect des biens d’autrui. Le Maire connaissait parfaitement le mécontentement de ces propriétaires qui ne voulaient pas perdre leur fonds de jardin. Ils  ont « osé » défendre leurs droits   devant un Tribunal en se réunissant en association « Ilôt Vert ».

Comment peut-on en arriver là dans une commune de 4000 habitants, où tout le monde  se connaît ?

 Le manque de dialogue coûte cher. Il est regrettable qu’une petite commune n’arrive pas à être comprise, dans sa diversité, par ses élus.

Après avoir crié haut et fort lors des conseils municipaux que le commissaire avait donné raison sur le fond à la Municipalité, il faut retenir que  l’élaboration du nouveau PLU tient compte   des revendications de ces propriétaires. Il ne faut en tirer aucun triomphalisme.

 

Le coût de ce nouveau PLU ? Au moins 100.000 euros aux dires de la Municipalité.

Que retenir de cette réunion ?

Tout d’abord il faut noter que  le pourcentage de 7% de logements sociaux est le même depuis plus de dix ans.

Ensuite il est une réalité que les routes qui donnent accès aux commerces, aux écoles, à la Poste, à la Mairie sont étroites et ne peuvent plus être élargies, à moins de détruire des maisons ou d’instaurer des circuits qui plongeraient le commerce dans le néant. Les trottoirs sont pratiquement inexistants. Cette réalité  est littéralement occultée par la municipalité en place afin d’obéir aux instances dominantes. Il faut revenir sur terre et acter qu’il n’est pas possible de concilier la densification du bourg et dans le même temps maîtriser la circulation et par voie de conséquence la sécurité.  

C’est un sujet important et il ne faut pas rester dans le virtuel et dans la bonne prêche en faisant la propagande pour les transports en commun, les pistes cyclables, les chemins piétons  etc… et en laissant croire que cela est possible. Tout le monde constate que nous n’avons pas les structures nécessaires et cette situation est irréversible.

La plupart des habitants de Locmiquélic n’ont d’autre choix que de prendre leur véhicule pour se rendre au travail.

Notre ville n’a pas vocation à développer le tissu économique.

Notre adjoint à l’urbanisme  ne se lasse pas de le dire et ceci sans aucun état d’âme. 

De plus, nous avons pu constater lors de cette réunion que la période de réflexion concernant le sort du camping était terminée. Depuis belle lurette, le sort du camping est clos.

Pour moitié ce sera un parking voitures et pour l’autre sans doute un parking pour les bateaux. A présent il faut suivre de très près cette évolution car il n’est pas exclu que cette décision est le point de départ d’une autre réflexion.

Il n’est pas exclu que le point d’arrivée  de la vedette qui effectue la liaison Pen Mané-Lorient au Quai des Indes,  disparaisse en faveur d’un autre lieu. Ce serait une belle occasion de redonner à Lorient le bassin à flot pour ses navires de plaisance. Les « Albanais » de service qui prennent le bateau à des fins professionnelles, économiques et scolaires,  devront prendre le bateau et le bus pour arriver à Lorient… On peut tout imaginer.

Par ailleurs nous avons pu voir que l’obstination du Maire pour construire sur le Stade Abbé Tréhin est entière. Il faut savoir qu’un recours déposé par l’association ESCAPADE concernant la désaffectation du site   n’est toujours pas instruit et que nous attendons la convocation du Tribunal.

En résumé,  le PLU sera soumis au vote du Conseil Municipal mi mai.

Nous invitons les citoyens à aller consulter en Mairie les nouveaux projets. Des projets immobiliers sont prévus près du LDL. Vraisemblablement aussi à côté du lotissement des 4 Chemins. Des zones agricoles sont installées entre la rue Général de Gaulle et la rue H. Sellier. Les fonds de jardin de la grande rue sont de l’histoire ancienne. Le camping est supprimé. Le Stade Abbé Tréhin fait toujours l’objet de projet de construction. Des aires de jeux sont prévues derrière le  cimetière. La salle des Fêtes serait envisagée à côté du stade Emmanuel Le Visage, une école construite sur le terrain des écoles.

En conclusion :

Aucun projet  favorisant l’emploi. La zone artisanale de Kervern ne sera pas étendue.

La perte de biens communaux : le camping et le Stade Abbé Tréhin qui tourne à l’obsession pour le Maire.

La poursuite de projets immobiliers à Talhouët.

Aucun projet structurant qui ne permette une évolution de la commune.

Une loi littorale qui est adaptée au gré des fantaisies de l’adjoint à l’urbanisme.

Un risque d’inondation qui obligerait à fermer le camping mais la sécurité des riverains n’est pas évoquée…!

Réunion de pure forme qui nous a montré une municipalité sur la défensive et complètement coupée des préoccupations de ses habitants.

Camping municipal : suspension d’activité pour 2013.

Le camping ne sera pas ouvert cette prochaine  saison estivale.

Nos élus se donnent le temps de la  réflexion pour décider de l’avenir du camping.

Cette décision  a été prise lors du conseil municipal du mardi 9 avril 2013.

Que se passe-t-il ?

Le camping ne fait plus recette et affiche  un déficit de 22.417,83 euros pour le dernier  exercice 2012.

Des travaux de remise en activité sont nécessaires…donc des dépenses.

A été mis aussi en avant les risques d’inondation de la zone en question.

Le camping est déficitaire ? La belle époque  pas très lointaine où tout le monde se réjouissait  de la bonne santé financière du camping est révolue. Fini le temps où nos élus venaient prendre le verre de l’amitié avec les « campeurs ».

Si on commence à fermer toutes les structures qui sont déficitaires sur le secteur, la liste sera longue. On peut aussi arrêter la Volvo Race, déficitaire, le Festival interceltique, déficitaire… et que dire du terrain synthétique ? Il rapporte quelque chose à la commune peut-être ?

Il y a moins de touristes dit-on. Sans doute.

Avons-nous mis en œuvre  une politique attractive  pour faire venir les touristes ? NON.

Le camping a-t-il été modernisé depuis sa création ? NON

Une élue de la majorité a posé une question pertinente et pleine de bon sens sur les conséquences de cette fermeture sur le tissu socio-économique. Visiblement ce n’est pas la préoccupation première de la municipalité qui n’en a que faire des incidences sur le commerce. La réponse a été des plus timides et  n’a pas retenu l’attention de l’assemblée. Cette personne  sera bien vite  invitée à ne plus poser des questions dérangeantes.

Il est regrettable qu' en cette période où précisément les départs en vacances seront moins nombreux,  la municipalité n’ait pas pensé  mettre en place une politique de prix  pour offrir des vacances à moindre frais aux familles qui justement cette année ne partiront pas en vacances car les budgets sont serrés. Un vrai gâchis.

Par ailleurs, il devient nécessaire  de communiquer  les résultats des  diverses études  en cours  concernant les risques d’inondation, nature du sol etc… de cette zone,  car si le camping « craint » que dire des habitations environnantes ?

Inutile d’agiter le chiffon rouge des risques d’inondation pour fermer le camping cet été. Inutile d’effrayer le voisinage.

Locmiquélic n’a pas la volonté de garder ses touristes, ni ses commerces d’ailleurs.

Un nouveau coup dur pour le développement durable de la commune !